Je me rendais comme d’habitude à l’hôpital, prêt à entendre tout ces refrains sympathiques qu’on allait me chanter pour fêter mon année supplémentaire. Je faisais la même route que chaque matin, à la même heure que chaque matin, seulement ce matin là était destiné à être différent : ma voiture percutait une jeune fille de 11 ans et j’ai alors perdu le contrôle du véhicule qui alla s’écraser contre un poteau de ligne électrique. Tout comme la jeune fille, j’étais dans le coma. Mais à l’inverse de moi, elle ne se réveilla pas…
A mon réveil, tout s’enchaîna : la police me transféra de l’hôpital vers le Commissariat d’une ville miteuse et m’interrogea sur le déroulement de l’accident. Je fus incarcéré en attendant mon jugement. Le jour J arriva et j’étais rongé par la honte et le remord, j’avais tué quelqu’un… Mais j’étais décidé à me défendre. Après tout j’étais encore en vie et je pouvais en sauver un grand nombre si je gardais la tête froide. Ma défense était assurée par un excellent avocat, mais cet homme ne put rien faire lorsqu’une preuve douteuse fut apportée au dossier : une analyse sanguine montrait que j’étais sous l’effet d’ un dérivé de narcotique (le Tétra-Zépamine) lorsque je provoquais l’accident. Les effets hallucinogènes du produit expliquait l’accident, mais faisait de moi un coupable inexcusable et indiscutable. Je fus condamné à 8 ans de prison pour meurtre et plus grave encore : une interdiction ferme d’exercer la chirurgie pendant 10 à 12 selon la décision d’une équipe de psychiatres qui surveilleront ma condition mentale dans la dernière année de mon incarcération.
Autant dire que j’étais dévasté. Mais le deuxième jour de mon emprisonnement fut assez inattendu : un avocat que je ne connaissais pas est venu me voir sans demande de ma part. Il m’expliqua qu’il était avocat pour le compte d’une grosse société multinationale et que cette même société s’intéressait à mes compétences. Il m’expliqua d’abord que la justice m’avait enfermé mais qu’une deuxième justice existait. On pouvait me faire sortir d’ici… ! Les jours suivant, cet avocat vint me voir très régulièrement sans se soucier du code des visites de la prison, je me demandais alors pourquoi la direction le laissait faire.
Il me proposa rapidement un contrat assez étrange de part la nature de ses clauses : « Je m’engage à travailler pour le compte d’Umbrella Corporation, je serais logé dans le complexe du personnel et y demeurerais le temps que couvre ce contrat » ou alors la fameuse « clause de confidentialité » qui m’empêchait tout contact avec un média ou même une personne extérieure. Seulement en échange de ces contraintes la société s’engageait à me verser un salaire assez conséquent et le plus important : elle garantissait ma libération 48h après la signature du contrat. Ma réflexion ne fut pas longue, malgré le fait que je ne connaissais absolument rien aux activités de la dite société. Le cadeau était trop beau pour le refuser…
Commentaires :
Re: :)
Merci beaucoup pour ce commentaire, c'est le genre d'intervention qui me donne de l'inspiration et de l'envie d'écrie...
J'ai besoin de vos remarques pour que cette page existe... n'hésitez pas...
Merci encore, au plaisir de te revoir dans le coin...
Re: Re: :)
bende rien en plus je vois ke c le début de ton joueb et com jsui passée apr là oci je c kon a besoin dencouragement pr s'y mettre! ne t'en fais pas en tt K vu ton histoire tu ora de la visite, m^m si les gens ne laissent pas de commentaires ;)
gros bisous!
Re:
Re: Re:
que lauteur des livres de Resident Evil, on simpregne tout
de suite de lhistoire.
En tout cas bravo et g vraiment hate de lire la suite...
:)
sympa ton histoire en tt cas el début est très encourageant j'attends la suite m^m si j'ai pas svt l'occasion de me connecter en ce moment! bonne continuation et gros bisous :)
ps : très bonne l'idée